Anibal De Matos est parti...
Anibal De Matos est parti la semaine dernière, suite à une longue et douloureuse maladie.
C'était un bandit et un roublard, un voyageur et un artiste martial (qui pratiquait l'art ésotérique du "Jogo do Pau"), un homme qui craignait Dieu et les nouvelles technologies, un infatigable curieux et un excellent raconteur d'histoires, un indécrottable colérique et un amoureux de la nature, un père de famille et un homme respecté même de ses ennemis.
C'était aussi mon modèle.
Bonne route, grand-père...
L'humeur du moment
déjà parti ailleurs |
1 commentaire:
adeus, avô...
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